Remettre en question les fondements d'un État reviendrait à réveiller le diable avec fureur. Ainsi, nous ne devons pas céder face à la pression nationaliste des pulaars en quête de reconnaissance identitaire.
Il est inutile de continuer à avancer masqué. Nos pères fondateurs avaient préféré les faux-fuyants sans clarifier et expliciter la réponse à cette question, alors que le conflit interethnique, qui a toujours envenimé les relations entre Mauritaniens, est le résultat du flou artistique qui l'entoure.
Si jamais on décidait un jour de négrifier à outrance Bilad Chinguit en imposant la langue peule, il serait plus intelligent de suivre la sagesse des nationalistes pulaars modérés envers l'enseignement et l'officialisation de la langue arabe.
En 1776, dans le Fouta, lors d'une bataille entre Marabouts et Guerriers, Souleymane Baal et Abdoul Kader Kane renversèrent la dynastie peule des Denyankobé, établie au XVIe siècle par les Satigui, au détriment des chefs de tribus tekrours (Toucouleurs).
Nous avons tous vu les activistes des FLAM faire irruption dans la salle de conférence où se tenait le congrès sur les disparitions forcées, organisé par les organisations onusiennes et internationales des droits humains s'intéressant à cette question. Le sort macabre réservé à leurs époux était au centre des préoccupations de ces femmes ve
Avant tout, toutes mes excuses pour ce silence qui a duré des siècles et des siècles. En réalité, c’est n'est que récemment, au gré de mes lectures, que j’ai découvert votre existence, existence si brillante à votre époque si lointaine.
Il est clair que les recherches historiques dans notre pays, faute de ressources allouées aux établissements dédiés à cette mission, sont plutôt modestes. C'est pourquoi nos chercheurs dans ce domaine, si utile, suivent toujours des chemins traditionnels, non révolutionnaires.