
Le président Mohamed Ould Cheikh ELGhazwani bénéficie d’une bonne période de grâce. Cinq mois après son élection, aucune véritable contestation politique n’est venue déranger son sommeil, excepté la veille de la Fête de l’Indépendance, gâchée par celui qu’on ne pouvait imaginer : Ould Abdel Aziz, son ami et prédécesseur.