À peine deux jours après un voyage Londres-Nouakchott agrémenté d’une nuit «inoubliable» passée sur les bancs de l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, en compagnie d’enfants mineurs, par temps de grande frayeur planétaire de la Covid-19, un fonctionnaire du ministère des affaires étrangères mauritanien, m’appela par téléphone, pour me signif