Les années blanches ont toujours eu lieu pour diverses raisons : guerres, troubles ou cas de force majeure, c'est-à-dire un problème imprévisible, incontrôlable et insurmontable.
Si le patriotisme ne prend pas le dessus sur l’ethnocentrisme, la cohésion nationale mauritanienne sera compromise aussi longtemps que durera le nombrilisme communautaire tueur de l’esprit républicain, de l’espoir d’une Mauritanie intégrée et résolument tournée vers l’avenir.
Le projet que le président Moktar Ould Daddah et ses compagnons avaient défendu « contre vents et marées » se maintient toujours malgré tant d’événements malheureux provoqués par les ingénieurs de la crispation nationale.