Caractérisé par la conjugaison de plusieurs facteurs endogènes d’instabilité, le Sahel connaît aujourd’hui un nouveau contexte géopolitique particulier avec l’augmentation des attaques terroristes par suite du retrait des forces françaises du Mali.
Il n’y a pas un secteur aujourd’hui dans notre pays où l’empreinte de la gestion désastreuse de la décennie de Aziz ne se fait pas sentir. Partout, on paie les frais de ses réalisations bidons et de ses mauvais choix. Malheureusement, la SOMIR en a été l’une de ses victimes.
Depuis l’indépendance de notre pays, les régimes qui s’y sont succédé ont entretenu des pouvoirs sur fond de stigmates tribales et ethniques pour aboutir, in fine, à un état de grande précarité classé parmi les pays les plus pauvres du monde.
Des scandales successifs ont secoué la SOMIR récemment. Il s’agit du rejet d’une cargaison d’essence, de l’acceptation d’une cargaison du Fuel et du démantèlement de la raffinerie. Ne voulant pas remuer le couteau dans la plaie, je me limiterais uniquement à ces ‘‘trois cartons rouges’’ des derniers mois :
C’est par les réseaux sociaux que nous avons appris le soir du 22 Juin 21 l’arrestation de l’ex-président Mohamed 0. Abdel Aziz avec une ostentation beaucoup moins prononcée que celle de ses prédécesseurs.