En avril 1998, le directeur général du ministère israélien des Affaires étrangères, Eytan Bentsur, me propose de prendre la tête de notre mission diplomatique à Nouakchott, capitale de la Mauritanie. J’étais à l’époque au cabinet du ministre, chargé de la communication et porte-parole de la délégation israélienne aux pourparlers de paix.