A l’instar d’Hampâté Bâ, l’ensemble des acteurs du mouvement pulaar qui soutenaient l’écriture de leur langue en abajada ne manifestaient pas là un rejet de l’islam, mais bien un rejet de l’« arabisme » (Monteil 1980 : 310) et de l’arabisation, ou tout au moins une préférence de rattachement à un univers occidental ou ayant subi l’influence