Qui doit diriger l’Union pour la République ? C’est une question qui divise les partisans de l’ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et ceux de son successeur Mohamed Ould Ghazouani.
Le président de IRA Mauritanie Biram Dah ABeïd a annoncé, lors d’une conférence de presse tenue ce 21 novembre, l’organisation d’une tournée d’information de son ancien directoire de campagne à l’intérieur du pays.
En Mauritanie, 700 pêcheurs artisanaux ont organisé un sit-in devant la présidence la République pour protester contre le débarquement de leur capture de poisson à 60 kilomètres de Nouakchott. Une décision du gouvernement mauritanien pour contrôler l’exploitation de la ressource halieutique.
Cent jours. C’est très peu pour la croissance d’un poulet, voire pour la rémission d’une maladie, même bénigne. Alors pourquoi -comment s’impatienter quand il s’agit de croissance et de pathologies de l’Etat ?
Si le nouveau président s’inscrit dans la droite ligne de son prédécesseur et ami Mohamed Ould Abdelaziz, les signes d’un changement de paradigme à la tête de l’État se multiplient. Une transition qui ne dit pas son nom ?
Depuis la prise de fonction de Mohamed ould Cheikh Mohamed Ahmed el-Ghazouani, dit Mohamed ould Ghazouani, le 1er août 2019, les relations entre le Sénégal et la Mauritanie connaissent une embellie, au même titre que celles entre la Mauritanie et le Royaume chérifien, comme cela va souvent de pair.
Les travailleurs de la société nationale industrielle et minière (SNIM) ont organisé un sit-in devant la résidence de l’administrateur-directeur général de la société Mokhtar O. Djay à Zouerate pour protester contre l’accord passé entre la société et la caisse nationale d’assurance maladie (CNAM).