Quarante kilomètres qu’on n’arrive pas à réhabiliter, deux tronçons de cinquante kilomètres chacun attribués à deux sociétés (fictives ?) il y a plus de deux ans et qui avancent à pas de tortue. La route qui relie le PK 110 de Nouakchott à Aleg est devenue un véritable calvaire pour les mécaniques, les dos et…les nerfs.